Plier le monde écarlate

Sur la carte sans direction
Pointer du doigt les parallèles
Eux, moi, nous
Décentrés sans visage.

Dans tes yeux noyés c’est mon naufrage
Sous les peurs condamnées
Nos braquages de la pensée
Avec otages

Il ne suffit pas d’avoir la lumière en pleine poitrine
Pour ouvrir l’œil
Encore faut-il soulever le rideau qui nous masque
Le monde à notre déconvenance.


Brut encore de décoffrage à suivre ou laisser cheminer dans les souterrains humides.

Ca s'rait bien qu'le Chef d'Atelier y passe un peu par ici quand même. Ne s'rait ce que pour faire un devis.
Il ne suffit pas d’avoir la lumière en pleine poitrine
Pour ouvrir l’œil
Ca m'fait penser au petit point rouge d'un laser de sniper...

Dédé.

Tiens, j'inaugure l'Auteur A la Une.
Je passe après Dédé (qui est passé il y a longtemps).
Oui, Sniper...
C'est bien visé je trouve, et ça touche.

Nilo, mouche.

Un de loupé, 12 ou + de retrouvés!

J'ai bien ouvert mes yeux et avec les paupières s'il vous plait et je n'ai aucun regret d'avoir vu!

Un poème miracle

Sylvie

Dédé a écrit:Ca s'rait bien qu'le Chef d'Atelier y passe un peu par ici quand même. Ne s'rait ce que pour faire un devis.
Dédé.

bon, je me fais rare c'est vrai...

je vais quand même pas vous faire le coup du mec parti s'acheter un ballot de pipe au PMU et qu'a touché dans l'ordre ... et pis d'ailleurs la boutique elle tourne toute seule non mais sans blague !

les vis à Ratoune elles sont tellement bien "platinées" que j'ai pas grand chose à redire...